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 Ma nouvelle #1

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Feller
Paysan
Feller


Masculin Nombre de messages : 12
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MessageSujet: Ma nouvelle #1   Ma nouvelle #1 EmptyMar 10 Juil - 23:53

Citation :
Je poste ici ma nouvelle, car le contexte est bon, mais cela fait un bon bout de temps que je n'ai lu la Moïra et Gallica, et je souhaite vous la montrer pour que vous puissiez m'aider à supprimer les petites incongruités ayant pu se faufiler ici et là. De même que els fautes que je n'ai pas manquer de faire Razz



Je me nomme Mattias, et je suis le Protecteur de Mes Seigneur Erwan et Dame Aléa. Je vis en ce moment mes derniers instants, et tandis que ma lame fend l’air pour paré les coups de haches de nos assaillants, et leur rendre la monnaie de leur pièce, je me remémore comment tout ça à commencé…

Je revois la mort tomber sur moi et mes camarades. L’armée du Samildanach… Ils n’étaient pas des soldats, du moins la majorité d’entre eu, mais le cœur y était. Ils combattaient pour une cause qui leur semblait juste, et pour cela ils mourraient par dizaines, tout comme les hommes d’Harcourt… Pourquoi tout ces morts ?

Je secoua ma tête pour chassé ce souvenir déplaisant, même s’il remontait à des années. Je fit sauté une hache des mains de son propriétaire, qui n’eut pas le temps de voir ce qui lui arrivait que je le décapitait prestement avant de paré un coup vicieux porté contre mon fla Mais les souvenirs revirent à l’assaut, et mon esprit délaissa mon corps qui continua à se battre malgré tout avec toutes mes compétences, automate, mais automate de grand talent…

Je me retrouve une fois de plus sur le champs de bataille. Mais le combat est fini. Je cherche parmi les morts comme parmi les vivant celui qui saura me mener au Samildanach. Erwan. Car j’ai fait un serment, et je me devait de le tenir. « Trouve et protège la Samildanach car en elle seul se trouve notre salut à tous… »

Je revint brutalement au moment présent lorsque le tranchant de l’arme adverse me fend l’épaule. Je lâcha un grognement de douleur et brandit mon épée de plus belle, en un élan désespéré, car je ne peux guère manquer de voir tout ces assassins me contourner, pour poursuivre ma Dame. Mais je ne pouvais rien y faire, débordé par le nombre…

Je retrouvais enfin Erwan, au moment de son couronnement. Le temps passé à le chercher dans l’angoisse - Était-il mort ? Et la Samildanach ? - portait enfin ses fruits. Mais pouvais-je vraiment le rater ? J’attendis patiemment de pouvoir le voir. Mais je me rendit vite compte que si je faisais comme son peuple - cela sonne bizarre, le fait que les gaelien fussent son peuple… - je ne le verrais pas avant longtemps. Des semaines, des mois peut-être. Je me faufilais donc dans le palais, et me mettais en quête de ses appartements.

Aujourd’hui, je vais mourir, mais je ne sais toujours pas comment j’ai réussis à aller le voir ce jour-là. La garde était renforcé, le pays étant instable, etc. etc. Je revois encore son visage, à Erwan, quand il me vit entré dans ses appartements et refermer vivement la porte derrière moi. Il avait prit son épée - il la gardait proche de lui en ce temps-là - et me faire face d’un air menaçant. Mais il me reconnu aussitôt et c’est avec soulagement qu’il baissait quelque peu sa garde, ne sachant pas comment je m’était faufilé jusqu’à lui et les raisons qui m’amenait. Il n’a jamais trouvé le sens aux paroles que je lui rapportait, au sujet d’Aléa et de notre salut à tous, pas plus que moi. Mais je ne lui dit jamais de qui je les tenait. La seule certitude qu’il n’eut jamais avant de mourir fut que je protégerais sa femme et son garçon au péril de ma vie. Mais je n’ai pas sus le faire avec sa fille…

Une nuit terrible. Aléa avait bordé sa petite et dormais en compagnie de son époux non loin du berceau. Mais au plus fort de la nuit nous l’entendîmes crié. Le palais en entier avait été réveillé. Je me levait et m’emparait de mon arme d’un même mouvement, et traversait le couloir - oui oui j’étais logé proche d’eux - pour la voir pleuré. Il y eut un temps où je crus qu’elle allait mourir de chagrin. Sa petite fille kidnappé. Les premiers temps nous nous tendions à une demande de rançon, ou plus vraisemblablement à des menaces, mais nous fûmes sans nouvelles pour toujours. Rien…

Mon bras faiblit, jusqu’à ce que finalement je ne puisse plus paré les coup porté contre moi. Je suis entouré de toute part. Mon seul désir est d’avoir au moins réussi à les sauvé, elle et le bébé. Mais au fond de moi je sais que c’est une folle espérance. Ils l’ont rattrapé, c’est certain. Et je sais aussi qu’elle ne leur laissera pas lui prendre son enfant. Et quelque chose me dit que son fils est sauvé. Je ne sais pas par quel miracle, mais je le sens au fond de moi-même ; Autant son âme est partie rejoindre celle de son père, autant son bébé n’est pas mort. C’est sur cette pensée que celui semblant être le chef de nos meurtrier me met à genoux, et lève sa hache pour m’exécuter, je revois son visage à elle et Erwan à la naissance de leur fils, ses larmes à la mort de son époux, assassiné, son désespoir quand je l’ai fais fuir et quitter l’île, son égarement quand nous arrivâmes en Gallica. Mais surtout, l’étincelle qui animait ses yeux quand elle les posait sur Erwan, sa fille ou encore son fils, bien que ces derniers fussent triste.

Et la lame file droit sur ma gorge. Je vois l’éclair précédant l’impact, et je me crispe en un ultime réflexe mais c’est avec surprise que je me meurt sans douleur. L’exécuteur ne m’a pas décapiter comme je le croyais. Il a prit mon arme pour me la passé au travers du corps. Dans mon ultime souffle, je me demande dans une dernière et secrète question, comment je peux me sentir si serein tout en sachant que j’ai failli à mon serment ?


Dernière édition par le Ven 21 Sep - 4:46, édité 1 fois
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eowynangel
Piplette
eowynangel


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MessageSujet: Re: Ma nouvelle #1   Ma nouvelle #1 EmptyMer 11 Juil - 1:18

J'ai corrigé les fautes d'orthographe et fait de légères modifs (en rouge).


Je me nomme Mattias, et je suis le Protecteur de Mes (supprime) Seigneur Erwan et Dame Aléa. Je vis en ce moment mes derniers instants, et tandis que ma lame fend l’air pour parer les coups de hache de nos assaillants, et leur rendre la monnaie de leur pièce, je me remémore comment tout cela a commencé…

Je revois la mort tomber sur moi et mes camarades. L’armée du Samildanach… Ils n’étaient pas des soldats, du moins la majorité d’entre eux, mais le cœur y était. Ils combattaient pour une cause qui leur semblait juste, et pour cela ils mourraient par dizaines, tout comme les hommes d’Harcourt… Pourquoi tous ces morts?

Je secouai ma tête pour chasser ce souvenir déplaisant, même s’il remontait à des années. Je fis sauter une hache des mains de son propriétaire, qui n’eut pas le temps de voir ce qui lui arrivait que je le décapitais prestement avant de parer un coup vicieux porté contre mon flanc. Mais les souvenirs revinrent à l’assaut, et mon esprit délaissa mon corps qui continua de se battre malgré tout, avec toutes mes compétences, automate, mais automate de grand talent…

Je me retrouve une fois de plus sur le champ de bataille. Mais le combat est fini. Je cherche parmi les morts comme parmi les vivants celui qui saura me mener au Samildanach. Aléa. Car j’ai fait un serment, et je me devais de le tenir. « Trouve et protège la Samildanach car en elle seule se trouve notre salut à tous… »

Je revins brutalement au moment présent lorsque le tranchant de l’arme adverse me fendit l’épaule. Je lâchai un grognement de douleur et brandis mon épée de plus belle, en un élan désespéré, car je ne pus guère manquer de voir tous ces assassins me contourner, pour poursuivre ma Dame. Mais je ne pouvais rien y faire, débordé par le nombre…

Je retrouvais enfin Erwan, au moment de son couronnement. Le temps passé à le chercher dans l’angoisse - Était-il mort ? Et la Samildanach ? - portait enfin ses fruits. Mais pouvais-je vraiment le rater ? J’attendis patiemment de pouvoir le voir. Mais je me rendis vite compte que si je faisais comme son peuple - cela sonne bizarre, le fait que les Gaeliens fussent son peuple… - je ne le verrais pas avant longtemps. Des semaines, des mois peut-être. Je me faufilais donc dans le palais, et me mettais en quête de ses appartements.

Aujourd’hui, je vais mourir, mais je ne sais toujours pas comment j’ai réussi à aller le voir ce jour-là. La garde était renforcée, le pays étant instable. Je revois encore son visage, à Erwan, quand il me vit entrer dans ses appartements et refermer vivement la porte derrière moi. Il avait pris son épée - il la gardait proche de lui en ce temps-là - et me faire face d’un air menaçant. Mais il me reconnut aussitôt et c’est avec soulagement qu’il baissa quelque peu sa garde, ne sachant pas comment je m’étais faufilé jusqu’à lui et les raisons qui m’amenaient. Il n’a jamais trouvé de sens aux paroles que je lui rapportais, au sujet d’Aléa et de notre salut à tous, pas plus que moi. Mais je ne lui dis jamais de qui je les tenais. La seule certitude qu’il n’eut jamais avant de mourir fut que je protégerais sa femme et son garçon au péril de ma vie. Mais je n’ai pas su le faire avec sa fille…

Une nuit terrible. Aléa avait bordé sa petite et dormait en compagnie de son époux non loin du berceau. Mais au plus fort de la nuit nous l’entendîmes crier. Le palais en entier avait été réveillé. Je me levais et m’emparais de mon arme d’un même mouvement, et traversais le couloir - oui oui j’étais logé proche d’eux - pour la voir pleurer. Il y eut un temps où je crus qu’elle allait mourir de chagrin. Sa petite fille kidnappée. Les premiers temps nous nous attendions à une demande de rançon, ou plus vraisemblablement à des menaces, mais nous fûmes sans nouvelles pour toujours. Rien…

Mon bras faiblit, jusqu’à ce que finalement je ne puisse plus parer les coups portés contre moi. Je suis entouré de toutes parts. Mon seul désir est d’avoir au moins réussi à les sauver, elle et le bébé. Mais au fond de moi je sais que c’est une folle espérance. Ils l’ont rattrappée, c’est certain. Et je sais aussi qu’elle ne leur laissera pas lui prendre son enfant. Et quelque chose me dit que son fils est sauvé. Je ne sais pas par quel miracle, mais je le sens au fond de moi-même ; Autant son âme est partie rejoindre celle de son père, autant son bébé n’est pas mort. C’est sur cette pensée que celui semblant être le chef de nos meurtriers me met à genoux, et lève sa hache pour m’exécuter, je revois son visage à elle et Erwan à la naissance de leur fils, ses larmes à la mort de son époux, assassiné, son désespoir quand je l’ai fait fuir et quitter l’île, son égarement quand nous arrivâmes en Gallica. Mais surtout, l’étincelle qui animait ses yeux quand elle les posait sur Erwan, sa fille ou encore son fils, bien que ces derniers fussent tristes.

Et la lame file droit sur ma gorge. Je vois l’éclair précédant l’impact, et je me crispe en un ultime réflexe mais c’est avec surprise que je me meurs sans douleur. L’exécuteur ne m’a pas décapité comme je le croyais. Il a pris mon arme pour me la passer au travers du corps. Dans mon ultime souffle, je me demande dans une dernière et secrète question, comment je peux me sentir si serein tout en sachant que j’ai failli à mon serment ?

C'est une premièe lecture. D'autres remarques viendront plus tard. Smile
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Feller
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Feller


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MessageSujet: Re: Ma nouvelle #1   Ma nouvelle #1 EmptyMer 11 Juil - 1:23

Wow... impressionnant Very Happy

Merci beaucoup ^^ Mais tu la trouves comment, la nouvelle ?

Mais -> 12e ligne dut exte, tu à mit « Aléa » en rouge, mais je parle pas du Samildanach mais de « celui qui saura me mené à elle »

Sur ce, je remarque que j'ai sauté un bout dans le texte et je vais essayer d'arranger sa le plus vite possible ^^

EDIT : La nouvelle version ne devrais plus tarder....
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Feller
Paysan
Feller


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MessageSujet: Re: Ma nouvelle #1   Ma nouvelle #1 EmptySam 29 Sep - 19:36

Citation :
Comme promit, une nouvelle version du texte, avec moins de fautes Razz


Je me nomme Mattias, et je suis le Protecteur de mes Seigneur Erwin et Dame Aléa. Je vis en ce moment mes derniers instants, et tandis que ma lame fend l’air vers moi, je me remémore comment tout cela a commencé…

Je revoyais la mort tomber sur moi et mes camarades. L’armée du Samildanach… Ils n’étaient pas des soldats, du moins la majorité d’entre eux, mais le cœur y était. Ils combattaient pour une cause qui leur semblait juste, et pour cela ils mourraient par dizaines, tout comme les hommes d’Harcourt… Pourquoi tous ces morts ?

J’avais secoué ma tête pour chassé ce souvenir déplaisant, même s’il remontait à des années. Je fis sauter une hache des mains de son propriétaire, qui n’eut pas le temps de voir ce qui lui arrivait que je le décapitais prestement avant de contrer un coup vicieux porté contre mon flanc. Mais les souvenirs revinrent à l’assaut, et mon esprit délaissa mon corps qui continua à se battre malgré tout avec toutes mes compétences, automate, mais automate de grand talent, si je puis me permettre…

Je me retrouvais une fois de plus sur le champ de bataille. Mais le combat était fini, cette fois. Je cherchais parmi les morts comme parmi les vivants celui qui saura me mener au Samildanach. Erwan. Car j’ai fait un serment, et je me devais de le tenir. « Trouve et protège la Samildanach car en elle seule se trouve notre salut à tous… »

Je revins brutalement au moment présent lorsque le tranchant de l’arme adverse me fendit l’épaule. J’avais lâché un grognement de douleur et brandit mon épée de plus belle, en un élan désespéré, car je n’avais guère pus manquer de voir tous ces assassins qui me contournait, pour poursuivre ma Dame. Comme je m’en voulais de ne pouvoir la protéger, comme j’avais promis ! Mais je ne pouvais rien y faire, débordé par le nombre…

Je retrouvais enfin Erwan, au moment de son couronnement. Le temps passé à le chercher dans l’angoisse - Était-il mort ? Et la Samildanach ? - portait enfin ses fruits. Mais aurais-je vraiment pus le rater ? J’attendis patiemment de pouvoir le voir. Mais je me rendis vite compte que si je faisais comme son peuple - cela sonnait bizarre à mes oreilles, moi qui l’avait toujours connus comme apprentis Magistrel. Je crois que je n’ai jamais réalisé ce que cela signifiait vraiment, le fait que les Gaeliens fussent son peuple… Mais si je n’agissais pas, je pourrais attendre des semaines, voir des mois, peut-être, avant de pouvoir le voir et lui parler. Je me suis donc faufilé dans le palais et me mettais en quête de ses appartements.

Aujourd’hui, je vais mourir, mais je ne sais toujours pas comment j’ai réussi à aller le voir ce jour-là. La garde était renforcée, le pays étant instable. Je revois encore son visage, à Erwan, quand il me vit entrer dans ses appartements et refermer vivement la porte derrière moi. Il avait pris son épée - il la gardait proche de lui en ce temps-là - et me faisait face d’un air menaçant. Mais il me reconnut aussitôt et c’est avec soulagement - et avec les yeux ronds d’ébahissement - qu’il baissa quelque peu sa garde, ne sachant pas comment je m’étais faufilé jusqu’à lui et les raisons qui m’amenaient. Il n’a jamais trouvé de sens aux paroles que je lui rapportais, au sujet d’Aléa et de notre salut à tous, pas plus que je n’en avais trouvé. Mais je ne lui dis jamais de qui je les tenais. La seule certitude qu’il n’eut jamais avant de mourir fut que je protégerais sa femme et son garçon au péril de ma vie. Mais je n’ai pas su le faire avec sa fille…

Une nuit terrible. Aléa avait bordé sa petite et dormait en compagnie de son époux non loin du berceau. Mais au plus fort de la nuit nous l’entendîmes crier. Le palais en entier avait été réveillé. Je me levais et m’emparais de mon arme d’un même mouvement, et traversais le couloir - oui oui j’étais logé proche d’eux - pour la voir pleurer. Il y eut un temps où je crus qu’elle allait mourir de chagrin. Sa petite fille kidnappée. Les premiers temps nous nous attendions à une demande de rançon, ou plus vraisemblablement à des menaces, mais nous fûmes sans nouvelles, pour toujours. Rien…

Mon bras avait faibli, jusqu’à ce que finalement je ne puisse plus parer les coups portés contre moi. Je fus entouré de toutes parts. Mon seul désir était d’avoir au moins réussi à les sauver, elle et le bébé. Mais au fond de moi je sais que c’était une folle espérance. Ils l’avaient rattrapée, c’est certain. Et je sais aussi qu’elle ne leur laisserait pas lui prendre son enfant. Et quelque chose me disait que son fils fut sauvé. Je ne sais pas par quel miracle, mais je le sentis au fond de moi-même ; Autant son âme est partie rejoindre celle de son époux, autant son bébé n’est pas mort. Ce fut sur cette pensée que celui semblant être le chef de nos meurtriers me mit à genoux, et leva sa hache pour m’exécuter, je revois son visage à elle et Erwan à la naissance de leur fils, ses larmes à la mort de son époux, assassiné, son désespoir quand je l’ai fait fuir et quitter l’île, son égarement quand nous arrivâmes en Gallica. Mais surtout, l’étincelle qui animait ses yeux quand elle les posait sur Erwan, sa fille ou encore son fils, bien que ces derniers furent tristes durant les derniers mois.

Et la lame file droit sur ma gorge. Je vois l’éclair précédant l’impact, et je me crispe en un ultime réflexe mais c’est avec surprise que je me meurs sans douleur. L’exécuteur ne m’a pas décapité comme je le croyais. Il a pris mon arme pour me la passer au travers du corps. Dans mon ultime souffle, je me demande dans une dernière et secrète question, comment je peux me sentir si serein tout en sachant que j’ai failli à mon serment ?
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Paysan
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MessageSujet: Re: Ma nouvelle #1   Ma nouvelle #1 EmptyDim 23 Déc - 3:21

Hey oh p'tain ya quelqu'un ?!?
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Myrddin le Blanc
Administrateur & Grand Diplomate de l'Ordre
Myrddin le Blanc


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MessageSujet: Re: Ma nouvelle #1   Ma nouvelle #1 EmptyLun 24 Déc - 1:19

Pour l'instant, le projet est en stagnation, faute de participants... et de la motivation d'Eowyn à m'envoyer les textes qu'elle garde farouchement chez elle Razz

Mais nous ne vous avons pas oublié, pas d'inquiétude Wink
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MessageSujet: Re: Ma nouvelle #1   Ma nouvelle #1 EmptyLun 24 Déc - 5:29

Même pas de commentaires XD
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